"Le véritable niveau du dinar est proche du marché informel ", selon l'ancien ministre du commerce, Benmeradi
Il est pour le moins paradoxal qu’un membre du gouvernement:
1- mette en cause le dispositif de cotation du dinars qui, pourtant, est toujours en vigueur;
2- Encourage les acteurs cachés et les utilisateurs du marché parallèle des changes à attaquer encore et toujours le dinar par le seul fait d’attribuer (au dit marché) une efficience qu’il dénie au dispositif officiel dont il est sensé être l’un des défenseurs;
3- Pousse à la poursuite de la dégringolade du dinar comme le ferait n’importe quel spéculateur du marché informel.
Trois mauvais coups dans le dos sont ainsi portés à la monnaie nationale. Ne dit-on pas que « on est jamais trahi que par les siens » ?
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