"Députée" et "présidente de parti politique"
Cette dame, telle une droguée, fait une addiction à la provocation et l'insulte, moyens utilisés par les pauvres d'esprit du monde entier pour attirer les projecteurs. Aussi parler beaucoup d'elle, c'est l'encourager à continuer, elle, et ses semblables, dans la même voie. A mon avis, les cibles sur lesquelles il faudrait diriger des ripostes sont les responsables et propriétaires des médias qui lui ouvrent micros et caméras ainsi que les dirigeants "cachés derrière le rideau" qui l'y font inviter. Médias auxquels les dignes et méritants citoyens de ce pays ont très peu accès.
Cette "boulitique" antinationale existe depuis longtemps sous différentes formes. En effet, c'est depuis l'indépendance que des groupes de dirigeants de notre pays travaillent à abrutir les algériens et les algériennes, sous prétexte de les arabiser, les diviser en factions pour les affaiblir, les dresser les uns contre les autres, en particulier contre les kabyles, leur faire renier leur identité amazigh et les détacher de leurs racines algériennes au profit d'un arabisme idéologique sans racines vivantes, sans consistance réelle non seulement en Algérie mais aussi dans les pays de l'Afrique du nord et du Moyen-orient.
Le jeu politique est faussé en Algérie. Cette dame dirige un parti qui n'a de parti que le nom. C'est tout au plus un groupuscule, un "particule". Il existe en réalité à peine une dizaine de partis politique s avec une base militante et électorale conséquente sur les soixante à soixante dix qui ont été diaboliquement légalisés par les groupes d'intérêt qui contrôlent l'Etat algérien. Quant aux députés, la majorité d'entre eux est "désignée" par les maîtres de la fraude et la dame en question en fait certainement partie. Une fausse député présidente d'un faux parti politique ne peut et doit pas avoir une vraie audience auprès des algériens. Sa vraie mission, jamais avouée et assumée, est d'empoisonner et stériliser le champ et l'action politique au profit des groupes d'intérêt qui entendent continuer à squatter, tel un bien vacant, le pouvoir d'Etat dans le but d'en user et abuser indéfiniment.
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