La morale, c'est pour les autres, n'est-ce-pas ?
Je me hasarderai à dire que la réalité parait confuse en matière de valeurs morales. Il y a effectivement des valeurs morales, souvent émises sans cesse en terme de règles impératives. Elles semblent dominantes mais plus dans le discours et moins par les actes. En effet, ces règles sont peu ou pas suffisamment appliquées pour que nous soyons convaincus de leur efficience voire de leur validité en un temps et en un lieu donnés.
Devant le manque d'impact de ces valeurs morales tant à l'échelle individuelle que collective, on se dit qu'elles ne sont qu'alibis, écrans de fumée, caches-misère morale.
Oui, car la loi d'airain qui régit les rapports sociaux, c'est la conquête d'une position sociale dominante - par l'enrichissement encore et encore avec tous les privilèges qui vont avec cette boulimie de biens matériels - aux dépens de tous les autres, "nos frères et soeurs", nous répète-t-on, et au prix de notre malheur à tous et de celui des générations futures.
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